Au cours de son bref run sur la série Thanos, Donny Cates imaginait le Cosmic Ghost Rider, version alternative et futuriste d'un Punisher qui après avoir pactisé avec Méphisto pour se venger d'un Thanos conquérant de son univers, avait ensuite récupéré les pouvoirs du Ghost Rider et du Silver Surfer. Avec une popularité très vite acquise, le personnage s'est rapidement vu offrir plusieurs mini-séries : une première à l'été 2018, un Cosmic Ghost Rider Destroys Marvel History en mars 2019, et Revenge of the Cosmic Ghost Rider qui s'était étalée entre décembre 2019 et juin 2020, avec une pause de publication liée à la pandémie de coronavirus. A présent, l'anti-héros est prêt à repartir sur les devants de la scène, encore une fois, mais avec une série régulière plutôt qu'une mini-série.
Confiant dans la popularité du Cosmic Ghost Rider, Marvel lui offrira donc à partir du mois de mars prochain sa première ongoing, avec les bons soins de l'autrice Stephanie Phillips (qu'on a pu lire récemment sur le titre Harley Quinn, Wonder Woman Evolution ou en indé' sur Grim), qui fait donc ses débuts chez Marvel avec ce titre, mais aussi avec la prochaine mini-série Rogue & Gambit, annoncée à la NYCC 2022. Le titre sera illustré par Juann Cabal, vu sur le Black Panther de John Ridley.
Dans le premier résumé livré par la Maison des Idées, nous est expliqué que ce cher Frank Castle de l'espace a pris sa retraite dans un coin reculé de l'espace et que ses jours en tant que Cosmic Ghost Rider sont désormais bien loin derrière lui. Sauf qu'à l'autre bout de la galaxie, un chasseur de primes particulièrement vicieux empile des corps sur son passage... et se fait aussi appeler Cosmic Ghost Rider. Frank va donc devoir quitter sa retraite pour voir de quoi il en retourne et se retrouver confronté, potentiellement, à une autre version de lui-même. Ce qui promet une certaine brutalité dans l'affrontement au vu de la nature haute en couleurs du personnage.
Sortie du premier numéro attendue pour mars 2023, avec quelques planches à découvrir ci-dessous en plus de la couverture de Valerio Giangiordano.
