Après avoir prédit la chute de DC Comics, Rob Liefeld quitte Twitter

@The Batman : je pense qu'il y a un réel débat à voir sur la tenue de DC Comics ou des comics mainstream dans leur ensemble, mais en l'occurrence, tu comprendras que je n'avais que peu de place pour tout évoquer au travers d'une news (c'est aussi à ça que servent les commentaires).
Le fond ici c'est : ne vous engueulez pas sur internet et débattez dans le calme si vous pouvez, même quand c'est avec Rob Liefeld ^^

Tu es le KFC des comics.
Hahaha celle là elle est tendre !

Moralité : N'ALLEZ PAS SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

@TheBatman "Et ça se ressent sur les chiffres de vente."
Tu as des chiffres un peu précis pour étayer cette affirmation ou c'est juste au doigt mouillé ? Je dis ça parce que je vois régulièrement des gens dire "machin ne vend plus" ou "truc vend beaucoup plus qu'avant" sans qu'on fasse la preuve de quoi que ce soit. :-)

Je crois que DC a besoin d'un nouveau relaunch, Rappelez-vous au début de rebirth, l'éditeur était premier des ventes devant Marvel.
Selon moi les choses ont commencé à se détériorer du moins d'un point de vue qualitatif (en général) depuis l'event Dark Nights: Metal qui continue d'affecter l’univers DC jusqu'à maintenant .

regarde dans les détails. Oui DC est au plus bas. Et la compagnie va mal. Une compagnie qui traite ainsi ses personnages durant près d'une décennie ne peut pas se voir apprécié en fait. Mais pour finir j'aimerais rappeler que la meilleure chose arrivée à DC ces dernières années est l'arrivée de Bendis qui distille doucement tout ce que le lectorat recherchait. Me semble d'ailleurs avoir lu que ce n'était pas forcément au goût des patrons qui l'avaient embauché pour autre chose. Mais force est de constater que l'arriver de Bendis a fait beaucoup de bien à un éditeur historique qui bat effectivement de l'aile. Voilà j'ai fini ^^

Mais pour donner d'autres exemples, on peut citer la réponse de Gail Simone à Ethan Van Sciver où Simone lui rappelait que durant les N52, la première consigneétait de faire du "dark, dark, dark". C'était assez fou comme première consigne. Tant que c'était dark ça allait. La même Simone expliquait également qu'elle sait que son run sur Batgirl n'est pas bon, mais qu'elle avait décidé de prendre la série tout de même parce que lorsqu'elle avait vu les plans pour les personnages elle a préféré gérer tout cela elle-même vu ce qui était prévu. Et les plus récentes polémiques qui ont littéralement fait décrocher le lectorat de DC c'est les traitement épouvantables de Dick Grayson et de Wally West, littéralement les deux personnages les plus détestés par DiDio. Il le rappelle assez souvent pour énerver le lectorat. Heroes in Crisis était simplement la goutte de trop. Et ça se ressent sur les chiffres de vente. 'fin je pourrais encore en parler longtemps tant c'est un sujet vaste quand on

Alors, évidemment, tout cela sonne très complot mais ce n'est pas le cas. Récemment l'histoire du Black Label n'est qu'une explosion de quelque chose qui se passe depuis plusieurs années. Je parlais de Johns, mais je peux également parler de Gleason ou, encore plus significatif, de Booth. Booth est comme Johns. Un amoureux de ce que véhicule DC habituellement : l'espoir, l'optimisme, la famille, etc. Tout cela est synthétisé dans le personnage de Wally West. Mais Booth est parti de chez DC. Après avoir dévoilé d'ailleurs certaines choses. Le plus notable étant le fait que DC ne l'a pas laissé avec Abnett écrire la série Titans au-delà du premier arc. Le premier arc est très largement aimé. C'était le retour du DC d'antan, du DC authentique, du DC qui fait sourire. Mais eh, DiDio et cie étaient là pour tout brider. Dans la continuation de leur politique durant les N52. La politique du dark à outrance. Je me mélange un peu les pinceaux parce qu'il y a tant à dire sur ce sujet en fait.

Si je puis me permettre Corentin c'est plus compliqué qu'une histoire de Black Label ou de petites polémiques. Et il a raison sur DC qui bat de l'aile. Cela a vraiment commencé il y a 8 ans avec les N52. DiDio applique une politique qu'il explicite assez clairement : se faire détester car rien n'est pire pour lui que l'apathie du lectorat. Il veut se faire détester et se permet de troller les lecteurs pour alimenter un semblant d'éditorial aux antipodes de ce qu'est DC. DC n'a plus de direction éditoriale en fait. Il suffit de lire HiC #9 et DC #10 (sortis le même jour d'ailleurs) pour le constater. Ce sont deux comics qui véhiculent des messages en complète opposition. L'effet qui en découle récemment c'est une marginalisation de Johns. Il suffit de le voir sur Twitter. Quand des nouveaux comics événements sortent, t'as tous les auteurs qui se félicitent, or Johns n'est jamais inclus, quand bien même son DC #10 entre dans le top des ventes de mai à la seconde place.

Si il est pas du meme avis que Mark Millar je suis pas completement contre.