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The Flash #9 : la review !

The Flash #9 : la review !

ReviewDc Comics
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Notre note

Après deux numéros transitoires, la série continue son petit bonhomme de chemin et en est à son neuvième numéro qui marque en quelque sorte le prologue à Flashpoint, "THE crossover" de DC en cette année 2011. Une étrange personne est retrouvée morte à Central City : Elongated Kid… Sauf qu’il a pris un coup de vieux ! Et qui est cet étrange policier venu du futur ?


Comment ? On dirait le pitch du premier arc de la série ? Vous n’avez pas totalement tort dans le fond… Jusqu’à environ la moitié du numéro j’ai eu très peur. Tout était identique au début du premier arc de la série : Barry qui n’arrive pas à joindre vie de famille et travail, un meurtre étrange à résoudre, des problèmes au travail. Non, franchement, Geoff Johns ne s’est pas foulé pour le début de ce nouvel arc.

Heureusement, l’étrangeté de la situation et surtout la rencontre entre le policier du futur et Flash (quel final !) arrivent à nous tenir mais Johns va devoir vraiment se surpasser pour ne pas nous faire retomber dans une platitude… dangereuse. Surtout pour un personnage qui continue à se chercher pour fidéliser le maximum de monde. (Flash c’est un peu le nouveau Green Lantern en quelque sorte, DC essaie de centrer ses publications autour de lui).


Mais surtout, le numéro est marqué par le retour de Francis Manapul (qui a opéré sur le premier mais pas sur les numéros 7 & 8) qui franchement, est enthousiasmant. Même si Kolins essayait de se rapprocher au maximum de son style dans les deux derniers numéros, Manapul maîtrise bien mieux la fluidité des personnages et les expressions faciales. Je vous l’avouerai cependant, quelques cases m’ont fait tiquer et m’ont rappelé le terrible numéro 2 de la série qui, en termes de dessin, était franchement à la ramasse... Mais ces problèmes ne durent qu'un temps et la sauce prend bien dans l'ensemble. Puis les couleurs de Buccelato sont toujours merveilleuses tellement elles collent à l’esprit Flash ; Une vraie réussite à ce niveau là.

Sans se fouler, Geoff Johns arrive à faire l’essentiel pour le premier épisode d’un nouvel arc : nous tenir en haleine. Par contre pour l'originalité, il faudra repasser… Les dessins de Francis Manapul tiennent la dragée haute à l'ensemble des productions actuelles de la Distinguée Concurrence et c'est bien ça que l'on retiendra !


Woulfo
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