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The Flash #4, la review

The Flash #4, la review

ReviewDc Comics
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Notre note

Avec ce qu’il s’était passé à la fin du précédent numéro, on pouvait se demander à juste titre comment la suite des évènements allait se présenter. Malgré une pirouette scénaristique qui explique comment Barry Allen s’est tiré du mauvais pas dans lequel il s’était mis pour sauver son vieil ami, dans cet épisode on en apprend bien plus sur le passé de ce dernier et bien évidement sur Flash bien sûr.

Flash 4

Mob Rule est dans la place !

Comme on a pu le voir dans les autres épisodes, l’histoire est parsemée de séquences souvenirs qui nous font découvrir progressivement le passé de Manuel Lago et comment il en est arrivé là où il est maintenant. Elles bénéficient toujours d’un traitements un peu différent du reste du titre pour bien démarquer les différentes époques. Ces retours dans le passé sont d’ailleurs une bien belle occasion de comprendre pourquoi il possède autant de doubles. De plus, lors de sa fuite aux côtés de Patty Spivot, la collègue et mais aussi petite-amie de Barry Allen, la jeune femme essaie de le convaincre de retourner chercher son ami. Parallèlement à cela, on retrouve le Docteur Elias (on croyait qu’à la base, il était censé aider Flash à améliorer sa vitesse) en plein périple dans le désert accompagné d’Axel Walker (plus connu pour être le Rogue nommé Trickster) et de Mob Rule afin d’aider ce(s) dernier(s). Mais n’oublions pas Iris West non plus sans qui le mythe de Flash ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui si la journaliste ne gravitait pas autour de la série. La "malheureuse" essaie toujours de pouvoir s’extirper des grille de la prison d’Iron Heights dans laquelle elle s’était déplacée pour interviewer la fameux Captain Cold. Flash en lui même n'est pas en reste non plus car même s'il ne fait réellement son apparition que quelques pages avant la fin du numéro, cela nous permet d'en savoir un peu plus sur lui...

Flash 4

Back to the Future !

Ce qu’il y a de très intéressant dans les différents flashbacks, c’est que pour certains il n’y a pas réellement besoin de texte. Ils se suffisent à eux-mêmes. Pourquoi ? Grâce à la mise en page tout bonnement intelligente que l’artiste Francis Manapul a réalisé. Des double splash-pages servant ni plus ni moins à raconter le passé tortueux de Manuel. De la même manière que précédemment, les deux artistes Francis Manapul et Brian Buccellato dépeignent une histoire dans laquelle on ne peut en aucun cas dissocier le scénario de la partie graphique. On est en présence d’un tout. Chaque découpage de planche est la continuité directe de l’intrigue. Les deux co-scénaristes ont réfléchi dès le départ à ce à quoi ressemblerait la mise en page tout en réalisant le scénario. Les différentes pages ne sont pas simplement qu’une suite de cases qui se suivent les unes aux autres, non. Le moindre détail est réfléchi et rien n’est laissé au hasard.

Depuis le début des New 52, Flash arrive à garder un très bon niveau de qualité. Le mythe du speedster est très bien revisité et remis au goût du jour par un duo de co-scénaristes et artistes qui réussissent à chaque fois à nous faire passer un très bon moment de lecture.

Flash 4

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