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Doctor Who 2011 : Body snatched (#10 et #11), la review

Doctor Who 2011 : Body snatched (#10 et #11), la review

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Notre note

Episode(s) précédent(s) : #1#2-#4#5#6-#8 et annual 2011 et #9.

Après avoir laissé Kevin sur la base Nebula, notre trio de héros se rend à la Trans-Universal Union, une poste inter-galactique dans laquelle le Docteur possède une boîte (même s'il ne l'a pas encore ouverte, elle l'est à l'époque à laquelle ils arrivent... voyage dans le temps, tout ça). Et cette boîte contient une lettre, un appel à l'aide d'un vieil ami, the Horse Lord of Khan (mais appelons-le Trevor), qui a des ennuis. Ou plutôt avait des ennuis, il y a deux cents ans, mais qu'importe lorsque l'on est un voyageur temporel ?

Trevor se trouve confiné sur la Planète-Hôpital de Bedlam, qui a la particularité d'être un centre spécialisé dans les Biogrowers. Ces êtres biorganiques sont créés génétiquement pour servir les humains. Mais si leur corps très résistant est prévu pour survivre une centaine d'années, leur cerveau cesse de tourner après seulement 50 ans. Bedlam a alors été créé pour s'occuper de ces coquilles vides pendant leurs années restantes, sorte de casse pour serviteurs zombies. Mais que peu bien faire Trevor sur cette planète ?

La réponse nous est apportée par le Dr Rubin, qui travaille secrètement à un système pour transférer des consciences dans les biogrowers. Ainsi il espère utiliser leur 50 années de non-existence pour redonner un corps à ceux qui n'en ont plus, ou qui sont gravement mutilés. Et il a déjà expérimenté sur certains cobayes. Malheureusement tout n'est pas ce qu'il parait. Le docteur Rubin et d'autres ont certaines motivations cachées, et les cerveaux des biogrowers n'est pas si mort que ça...

Cet arc est partagé entre du très bon et du un peu moins bon. Le très bon c'est les concepts qui y sont développés, entre les jeux spatio-temporels et les réflexions sur les esclaves de l'humanité, via les biogrowers (qui rappelle dans l'idée la création des Cylons de Battlestar Galactica ou les robots d'i-Robot), en passant par le transfert de conscience qui amène le Docteur a réaliser son rêve, être roux, ainsi que quelques scènes sympathiques qui en découlent... Le moins bon c'est malheureusement la révélation du plan final qui révèle un twist utilisé il y a à peine... un arc ! Il faudrait que Tony Lee renouvelle son stock.Au dessin c'est Matthew Dow Smith qui revient après avoir laissé la série le temps du numéro 9, et c'est très bon. Sans le twist final cet arc aurait pu obtenir 4, mais malheureusement la série restera sur son éternel 3,5 : la note la moins significative de toute, à savoir ni mauvais ni terriblement bon.

Manu
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