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Supergirl, la critique du pilote

Supergirl, la critique du pilote

ReviewSeries tv
On a aimé
• Ne perd pas de temps à s'installer
• Melissa Benoist et son facteur Grant Gustin
On a moins aimé
• Une avalanche de clichés
• Le collègue caution Chloe/Felicity
• Des effets inégaux
Notre note

Ndlr : la critique ci-dessous se base sur le leak de l'épisode fin mai. Nous la republions suite à plusieurs demandes de notre retour sur cet épisode. Elle demeure inchangée, étant donné que le pilote n'a subi que des modifications mineures pour l'adapter à la diffusion, mais que la forme et le fond n'ont pas été touchés.

Est-ce un avion ? Est-ce un oiseau ? Non, c’est un gros leak. Une nouvelle fois. Un an après les leaks des pilotes de The Flash et Constantine, Warner est de nouveau touché par la fuite de l’un de ses pilotes. Mais va-t-on les plaindre, quand tout ça ressemble de plus en plus à une projection-test soigneusement organisée ? L’an dernier déjà, le doute résonnait dans nos esprits, surtout quand Constantine a vu la fin de son pilote modifiée pour éjecter l’un des deux personnages principaux. Mais cette année, on a même droit à des versions 1080p et 720p presque officielles dans un monde où le piratage des séries est devenue une industrie que les majors se gardent bien de toucher (leur audience et leurs retours n’en sont que démultipliés).

On aurait donc pu attendre la sortie officielle de la série pour vous en proposer une critique, mais devant ce qui ressemble à un produit fini, suivant à la lettre la trame présentée dans son long trailer de six minutes, pourquoi attendre. Bienvenue donc, dans le merveilleux monde des effets spéciaux façon 1990.

En attendant Krypton (never forget)

À vrai dire, voici un peu une remarque de mauvaise foi. Tous les effets spéciaux de ce pilote ne sont pas mauvais, certains sont même plutôt bons. Le double-problème qui en ressort est cependant, d’un côté la forte inégalité des effets sur l’ensemble de cet épisode, et d’un autre côté la terrible scène d’ouverture, presque entièrement réalisée en CGI, et qui constitue les plus mauvais effets spéciaux, non seulement de cet épisode, mais de nombreuses séries depuis bien longtemps. Certains spectateurs ont rapporté des lésions rétiniennes quelques instants après avoir lancé la vidéo. Serait-ce là un garde-fou sophistiqué contre les pirates ?

Cette introduction kryptonienne, qui n’est pas sans rappeler Man of Steel, mais, avouons-le, également toutes les adaptations de Superman : dans la famille des passages obligés, je demande le lancement de la navette et l’explosion de la planète. Si nous pouvons juger la forme, il est difficile de reprocher le besoin de raconter ce passage, d’autant qu’au final, ce pilote a la bonne idée de nous raconter l’histoire en accélérée : « vous connaissez déjà l’histoire de mon cousin,  je ne vais pas vous la refaire ».

Car oui, Supergirl vit bien heureusement, dans un monde où Superman existe, et arrive sur Terre un peu comme un cheveu sur la soupe. Son cousin la recueille et la place dans une famille un peu particulière, les Danvers avec papa Dean Cain et maman Helen Slater, au cas où on n’aurait pas compris depuis Smallville que Warner voulait jouer sur l’héritage de ses anciens films et séries. Aux côtés de ces gens qui connaissent son secret (et ont aidé Superman avec ses pouvoirs), Kara conserve son prénom et grandit avec une sœur d’adoption, telle une humaine. Car, n’ayant plus à s’occuper de son cousin devenu le héros d’une planète, elle doit se trouver une nouvelle place dans le monde.

Trouver sa place au soleil

En quête de justice sous une autre forme, Kara a donc grandi… Non sérieusement, arrêtons-nous un instant sur cette idée que la Terre, qui n’a que Superman comme héros, n’a pas besoin d’un deuxième justicier en costume. Jamais elle ne pense que son cousin serait un peu content de souffler de temps en temps ? Ce que ce pilote montre clairement, c’est que la communication n’est pas le fort de cette famille. Même quand il lâche Kara dans sa nouvelle famille, Kal-El ne décroche pas un mot ou un bisou d’au-revoir.

En quête de justice sous une autre forme, Kara a donc grandi… Non sérieusement, arrêtons-nous un instant sur le fait que Kara a décidé de conserver son prénom dans le civil. Alors certes, elle est partie sur l’idée de ne jamais devenir une héroïne, mais Kara n’est pas le prénom le plus répandu sur Terre, que se passera-t-il le jour où le monde apprendra que Superman a une cousine prénommée Kara ? D’autant qu’elle s’est désormais révélée au monde, sans masque et dans un premier temps sans costume. Vous imaginez Kal Kent au Daily Planet, au moment où Superman révèle s’appeler Kal-El ? Passons.

En quête de justice sous une autre forme, Kara a donc grandi pour devenir journaliste. Comme ça, ça lui est venu de nulle part. Le problème c’est qu’à la place, elle s’est trouvée coincée dans une parodie du Diable s’habille en Prada, avec Calista Flockhart dans le rôle de Meryl Streep sans la subtilité. Si Cat Grant n’est pas la plus subtile et la plus altruiste des personnages du Superverse, elle reste habituellement humaine, abordable et relativement co-dépendante de son entourage. Ici ce n’est que l’archétype de la dirigeante froide, condescendante et légèrement mégalomaniaque. Elle se pose en moteur d’intrigue pour motiver Kara, sous plusieurs forme, à devenir une héroïne, allant jusqu’à lui donner son nom pour rester à jamais associée à son image.

Interprétée par Melissa Benoist, Kara/Supergirl parvient à inspirer à la fois l’affection et l’énervement, dans ce que nous qualifierons d’effet Grant Gustin. Vous savez, cette capacité à être attachant de niaiserie et de naïveté et à pleurer un quart d’un épisode. Et à l’instar de Grant Gustin, on a envie d’y croire, d’autant que c’est pour le moment plutôt l’écriture du personnage que son interprétation qui pose problème. Non, Felicity de Arrow n’est pas un modèle de personnage féminin à décliner. Le côté rafraichissant du personnage se retrouvera cependant dans son approche de sa nouvelle identité : plus qu’un fardeau ou une responsabilité, comme c’est le cas pour la plupart des héros télévisuels, c’est un vrai plaisir pour Kara que de pouvoir être celle qu’elle souhaite et ne pas avoir à se cacher. Un trait contre-balancé par sa sœur, qui la décourage dans son entreprise, et dont les motivations sont rapidement exposées pour introduire ce qui pourrait être la prémisse à la réinterprétation d’un grand personnage du Superverse. (Ndla : Pour le clin d’œil morbidement subtil, Kara sauve cette sœur, Alex d’un accident d’avion, alors que son interprète Chyler Leigh jouait la sœur de l’héroïne de Grey’s Anatomy, Lexie, morte dans un accident d’avion.)

En voulant aller très vite (et ce n’est pas un reproche, il aura fallu un épisode à Kara pour devenir Supergirl, contre dix saisons pour Tom Welling), la série alterne les passages personnels et les moments héroïques de façon un peu déconcertante, amenant en quelques minutes son personnages à se dévoiler en tant que nouvelle héroïne, le monde à l’accepter, et les personnages secondaires à découvrir qui elle est. On sent qu’il y avait matière à développer un peu sur un pilote d’une heure et demie, mais que pour tenir dans un format de 42 minutes, le pilote ne conserve que les poncifs et les traits grossis des différents personnages.

Ce pilote introduit les grandes lignes de ce que sera la saison, avec un grand vilain/rip-off féminin d’un grand vilain/élément personnel (ils ont mis les story-lines de quatre saisons dans un seul personnage), la justification des futurs monstres hebdomadaires (le premier est Vartox, vilain de Superman ou encore plus récemment Power Girl dans sa série pré-New 52), les personnages secondaires dont un va vite taper sur le système (on y revient), et une organisation secrète pas très secrète qui va à la fois travailler avec et probablement contre l’héroïne, parce qu’il faut des moteurs d’intrigue à mi-saison.

Pour revenir sur les personnages secondaires, on notera la présence de Jimmy Olsen, joué par Mehcad Brooks, qui vient de quitter Metropolis pour prendre son indépendance et cesser d’être labellisé comme l’ami de Superman. Difficile de lui reprocher quoi que ce soit si ce n’est qu’on a ici un Jimmy Olsen mannequin et très sûr de lui, ce qui change de son approche habituelle. Notons cependant que dans cet univers, Superman est révélé au monde depuis longtemps, et qu’il est naturel que Jimmy ait évolué à ses côtés. Un personnage qu'on n'ira pas taper contre les murs, d'autant qu'il est appréciable de voir une relation homme-femme développée à l'écran sans qu'elle appelle d'emblée au love interest. Mais celui dont on reparlera probablement pendant longtemps, c’est Winslow Schott.

Winslow est le collègue amoureux de Kara (check), voisin de bureau (check) alors qu’il est suggéré que c’est un technicien au milieu d’une rédaction de journal (passons, on n’a d’ailleurs pas totalement compris quel était le boulot exact de Kara), qui sait a priori concevoir des costumes (dans une scène d'essayage d'à peu près 12 secondes), s’y connait en polymères résistants au balles (…) et est capable de pirater les systèmes de la police pour trouver des crimes à combattre (......).  Poncif parmi les poncifs, il est le point Chloe Sullivan/Felicity de la série. Le joker pour régler les problèmes techniques, et l’intrigue amoureuse secondaire.

What’s wrong about « girl » ?

 

Dans les comic books, Supergirl est officiellement une adolescente. S’il existe plusieurs versions du personnage, cela reste un concept général : elle est jeune, et ça justifie éditorialement le nom de Supergirl (ce qui devient moins justifié avec Power Girl, plus adulte). Pour les besoins de la série, Kara est légèrement plus âgée, en début de vingtaine, elle travaille et a commencé sa vie de femme. Mais lorsqu’elle se dévoile enfin au monde et en costume, Cat Grant lui donne le nom de Supergirl, ce qui a pour effet d’offusquer la principale intéressée qui aurait préféré Superwoman. Cat Grant se lance alors dans une pseudo-rhétorique sur le thème « qu’y a-t-il de mal avec le mot fille ? Vous êtes une fille, je suis une fille, chef d’entreprise, … ». Une rhétorique destinée à mettre Kara mal à l’aise face au fait de ne pas approuver ce terme. Le problème ? Cela ne tient pas deux minutes.

Le même raisonnement pourrait être utilisé pour justifier le nom de Superboy à la place de Superman, mais personne n’irait tenter. Pourquoi ? Parce que les termes homme/femme face aux termes garçon/fille donne une plus forte légitimité, une sensation de maturité et d’importance. La question n’est pas « qu’y a-t-il de mal avec le mot fille ? », mais « que donne en plus le mot femme ? ». En l’appelant Supergirl face à Superman, en instillant dans l’esprit de Kara l’idée « you’re a girl », on se retrouve avec la dichotomie « you’re a girl / he’s a man », un côté décrédibilisant pour le personnage, et un sentiment renforcé face au commandant du D.E.O peu de temps après, qui ne la considère même pas comme utile là où elle présente la même force que son cousin.

Bien entendu, il fallait qu’elle soit nommée Supergirl, c’est le nom de son personnage là où Superwoman est un personnage différent et plus confidentiel. Néanmoins la justification utilisée semble aller à contre-emploi de la cause qu’elle est supposée défendre.

 

Dans ce qui sera la première série super-héroïque féminine nouvelle génération, la production semble s’emmêler les pinceaux et défendre sa cause via des non-sens et des archétypes d’un autre temps, et cherche à inverser la tendance homme-femme de façon si symétrique que s’en est presque risible (une héroïne doit-elle forcément se trouver opposée à une super-vilaine ?).

Vous l’aurez compris, si on peut louer l’idée de s’affranchir des origines à rallonge, il manque beaucoup trop de qualité à ce pilote pour oublier ses trop nombreux défauts, vestiges d’une autre époque. Les parallèles sont nombreux entre Kara Danvers et Barry Allen, au point qu’on a envie de laisser un peu de temps à la série pour développer son potentiel. Mais si sa grande sœur de la CW (Supergirl arrive sur CBS de son côté) façon Greg Berlanti nous a appris une chose, c’est que quelques bonnes idées ne sont pas toujours suffisantes pour faire oublier une flopée de clichés, de longueurs et de lourdeurs.


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Manu
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Commentaires (17)
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Avatar de min

02 Novembre 2015

min

c’est affligeant et mielleux....

Avatar de Tango-Whiskey

31 Mai 2015

Tango-Whiskey

Beaucoup de gens se moquent du fait que Supergirl puisse garder une identité secrète de la manière dont elle s'y prend.
Je leur répondrai que pour ma part, je reste persuadé que mettre des lunettes, changer de coiffure, changer de vêtements, adopter un autre comportement suffit à se dissimuler aux yeux de la plupart des gens.
Mais là où ça devient effectivement moins crédible, c'est au niveau de l'entourage proche de Kara Danvers, d'autant plus que Supergirl est une super héroïne qui agit le plus souvent de jour et à visage découvert et qui donc a pu être photographiée, et filmée, et ce sous toutes les coutures, ce qui fait que tout ça devient en effet moins crédible.
Mais les scénaristes jouent énormément sur le fait que personne n'arrive à deviner que Kara soit Supergirl en utilisant le second degré: c'est un cas typique de résolution du problème par l'absurde que l'on retrouve souvent dans les comics en général.
Et si jamais cela ne vous convient pas, ce que je peux parfaitement comprendre, il y a certains récits dans lesquels Supergirl se trouve une doublure de Linda Danvers (ou inversement) afin de présenter les deux personnages au même moment, et comme ça plus personne ne se posera la question.
Je rappelle quand même que Supergirl souhaite montrer son visage justement pour que les gens aient confiance en elle, ce qui est plus difficile quand on a le visage masqué.

Avatar de naflo

26 Mai 2015

naflo

Rien qu'en voyant le trailer j'ai pensé comme Manu mais cela je l'avais pensé pour les 4/5 premiers épisodes de Flash avec la formule sailor moon (1 épisode, 1 menace) qui a un peu changé par la suite.
Je ne suivrais pas Supergirl de façon hebdomadaire mais verrait en mid ou fin de saison si au moins ça vaut le coup d'oeil.

Avatar de Ecniv

26 Mai 2015

Ecniv

J'ai maté ce pilote hier soir et bof c'est juste dans la même veine d'Arrow, c'est trop propre, trop de fioriture, pour ce qui est de The Flash j'ai aimé cette première saison, qui malgrés les défauts résiduels, reste une bonne première saison. Je regarderai quand même la saison de supergirl juste pour l'intérêt de la critiquer :P

Avatar de Babs974

25 Mai 2015

Babs974

Perso j'ai aimé, et le pire c'est que j'ai aimé malgré le fait que je sois dac avec tout ce que ce vous avez dit ou presque. Au final peut etre que j'ai mis mn cerveau de coté en mattant cette série mais ce pilote m'a paru bien plaisant; un peu le meme genre de kiff que lorsque j'ai vu l'épisode fuité de flash a l'époque.
Donc à voir

Avatar de TheSpiz

25 Mai 2015

TheSpiz

ça se voyait rien qu'a la bande annonce que ça n'allait pas être terrible ta review le confirme c'est dommage pour les séries dc encore une qui va sans doute être moyenne même si cette épisode ne fait pas la série

Avatar de iJayp

25 Mai 2015

iJayp

Moi j'ai trouvé ça nul. C'est pour ça, j'ai adoré. (Melissa Benoist <3)

Avatar de k4nti

25 Mai 2015

k4nti

@Manu, Ben on verra, mais pour moi c'est assez évident que ça va être le love interest. Même si ça mènera peut être a rien au final. C'est d'ailleurs encore plus flagrant quant tu rajoute ­"Ti amo" par dessus les scène oèu il y a Jimmy^^
Aprèes je voulais pas aggresser ni rien, c'est juste que çca m'a semblé tellement énorme que j'ai vraiment tiqué quand j'ai lu l'article^^

Mais pour moi, Jimmy est LE personnage urticant de cette série. Trop beau, trop propre sur lui ... et c'est aussi èa des année lumièere de l'image que je me fait de Jimmy Olsen... Aprèes j'ai pas non plus une énorme culture comics, et on retombe toujours dans le débat sans fin de l'adaptation mais ça m'agace toujours quand un perso n'a de commun avec l'original que son nom.

Avatar de Ian0delond

25 Mai 2015

Ian0delond

Le discours sur le mot girl, mais aussi le coup de l'inconnue dans un bar qui gueule de façon complètement gratuite : "Ah enfin une super héroïne à laquelle ma fille pourra s’identifier !".

sérieux cette série...

Avatar de Jayro

25 Mai 2015

Jayro

J'étais assez sceptique, sans pour autant être négatif (comme c'est très souvent la mode ici, dès qu'il s'agit de Berlanti, ou plus généralement de DC / Warner ! XD), avant de voir ce pilote, et bien qu'il y a encore des choses à corriger, mon avis est globalement assez positif.
Kara, ou plutôt Melissa Benoist, est absolument adorable, et loin de cette image de nunuche que pouvait donner le premier trailer. Elle passe même assez aisément par plusieurs états, et son côté Supergirl badass est plutôt réussi.
Autre bon point, il n'y a effectivement pas d'intérêt amoureux ici, et Kara n'est absolument pas une chouineuse. Elle a des moments de déprime, certes, mais elle se ressaisit très vite, et elle a ce côté rayonnant qui donne facilement la patate. Un point qui devrait aller à son avantage au cours de la saison.
J'ai vu ce que j'espérais voir, le pilote d'une série de super-héros, qui à l'image de Flash n'a pas honte de ses origines.
Quant à l'héritage télévisuel DC, j'apprécie énormément cette initiative, en parfaite adéquation avec ce qui fait en partie l'identité de DC Comics, l'héritage.
Dean Caine, j'espère beaucoup le voir, bien plus souvent, dans la saison ! ^_^

Avatar de Manu

25 Mai 2015

Manu

@Tbecks7 : honte sur moi, c'est réparé.

@k4nti : je lui passe la scène de rencontre, mais oui selon moi c'est pas destiné à être un love interest par la suite. Plus un guide. Si j'ai tort, j'en serai doublement désolé.

Avatar de Brutal Destr0y333r

Perso j'ai pas du tout aimé le pilote de Flash et j'ai adoré la série par la suite.
Supergirl j'attendrai la sortie officielle pour pas attendre 6 mois avant d'avoir la suite même si ça m'intéresse vraiment pas pour l'instant.

Avatar de k4nti

25 Mai 2015

k4nti

"Un personnage qu'on n'ira pas taper contre les murs, d'autant qu'il est appréciable de voir une relation homme-femme développée à l'écran sans qu'elle appelle d'emblée au love interest. "

Vous êtes sérieux là? Quand il est a l'écran on a l'impression de se retrouver dans un épisode de Jeanne et Serge...

Avatar de Tbecks7

25 Mai 2015

Tbecks7

J'avais déjà arrêté Arrow, Flash et Gotham en cours de route cette année (même si je compte reprendre au moins Flash), et le trailer de Supergirl ne m'a pas du tout donné envie de regarder la série ! Et pourtant je suis bon public ^^
Cette review me conforte dans mon idée actuelle, je pense ne même pas regarder le pilot.

PS : dans Le Diable s'habille en Prada, c'est Meryl Streep et non Glenn Close ;) (mais j'avoue que la ressemblance peut être trompeuse !)

Avatar de Kit_Fisto, serial reviewer

[QUOTE][QUOTE_USER]Ultralucide le 25 Mai à 17:40, dit :[/QUOTE_USER]@Kit_Fisto tu devrais commencer FLASH, sincèrement la plupart des fans adorent c'est vraiment sympa et il y a beaucoup de critiques très positives :)[/QUOTE]

 

Bah j'ai vu le pilote en fait et ça me donne bien plus envie que le reste...Dans les séries DC

Avatar de Ultralucide

25 Mai 2015

Ultralucide

@Kit_Fisto tu devrais commencer FLASH, sincèrement la plupart des fans adorent c'est vraiment sympa et il y a beaucoup de critiques très positives :)

Avatar de Kit_Fisto, serial reviewer

Bababam !!! la review qui fait mal !!!
J'ai vraiment peur de regarder ce pilote encore plus après ta review Manu...Déjà que j'ai abandonné Arrow dès la saison 1, pas commencé Flash, pas terminé Gotham...J'vais pas perdre de temps à mater ça je pense !