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Comics Art Gallery #53

Comics Art Gallery #53

chronique

Vous avez sans doute tous passé la journée à vous prendre pour des lézards au soleil, à redécouvrir les vêtements les plus légers de votre garde-robe et à siroter des boissons fraîches en terrasse. C'est donc encore les yeux illuminés que vous allez pour pouvoir découvrir le nouveau numéro de la Comics Art Gallery. Suivez le guide.

Depuis que Gabriel Hardman a été annoncé sur un titre Star Wars, c'est étonnant toutes les commissions avec des personnages de la fameuse saga. Mais quand on voit ce Chewbacca, on ne va pas s'en plaindre.



Pour Paolo Rivera, c'est plutôt l'univers du Tisseur auquel il est abonné. Avec cette fois un magnifique portrait de Carnage, si tant est que l'affreux symbiote puisse être magnifique.



Dessiner Colossus, c'est un peu faire l'apologie de la robustesse et de l'impassabilité. Cahier des charges parfaitement rempli par Khary Randolph sur ce dessin.



On aurait tendance à penser que Skottie Young excelle dans un seul style. Ce Man-Thing magnifiquement colorisé par son compère Jean-François Beaulieu prouve qu'il a plus d'une corde à son arc.



Spider-Man a tendance à s'en prendre plein la tronche au fil de ses rencontres avec ses nombreux ennemis. Ce dessin de Todd Nauck en est l'illustration parfaite.



Voir un dessin de Warbird parfaitement réalisé par Chris Bachalo n'est pas une surprise en soit puisqu'il l'a désigné, mais c'est toujours plaisant.



Puisque le beau temps est revenu, faisons nous une petite session printanière avec cette Supergirl très bucolique par l'excellent Clay Mann.



Comme le soleil, cela faisait un moment que l'on avait pas revu Ale Garza. Mais il revient très fort avec un superbe Batman accompagné de son fidèle Robin.



Une nouvelle Supergirl, mais cette fois-ci réalisée par un Phil Noto qui expérimente toujours. Oui, il maîtrise vraiment beaucoup de techniques.



Metropolis est une oeuvre majeure du 7e Art, mais aussi de la culture en générale. Ce film de Fritz Lang sorti en 1927 est une oeuvre fondatrice de l'anticipation au même titre que les romans d'Isaac Asimov. L'un des premiers univers dystopiques jamais créé, il est superbement tourné dans une esthétique expressionniste qui laisse le souffle coupé, il a été remasterisé en 2010 dans sa version intégrale de plus de deux heures, impensable pour l'époque.
Alors quand Dustin Weaver rend hommage à ce monument par une illustration aussi superbe, on reste béat d'admiration.


Alfro
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