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Deathstroke #1, la review

Deathstroke #1, la review

ReviewDc Comics
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Notre note

Encore un titre découverte pour moi dans ces New 52 avec Deathstroke, le mercenaire-assassin, dont je ne connais quasiment rien à part le look, et ce que j'en ai vu dans les 2-3 épisodes des Teen Titans sur lesquels je suis tombé. Bonne pioche ou coup d'épée dans l'eau ?

Deathstoke est un mercenaire et un assassin. Son vrai nom : Slade Wilson. Son surnom : The Terminator. Dès le début du titre, le ton est donné, il est le "scariest badass on the planet". Méta humain doté de capacités intellectuelles et physiques supérieures, il est également un maître stratégique, capable d'éliminer les cibles les plus improbables, dans n'importe quelle situation, et quiconque se mettra au travers de sa route, tant que le prix est mis. Après une première mission servant à montrer ses capacités, on passe dans le vif du sujet. Slade doit alors faire équipe avec trois bleus ultra dont la préoccupation première semble être le choix du nom de leur groupe. Bien entendu, cela ne l'enchante guère, mais il doit faire avec. La mission : tuer un homme dans un avion et voler sa mallette. Petit hic, il se retrouve gardé par des soldats avec de l'ADN de Clayface, ce qui ne fait que ralentir légèrement, avant que la mission prenne un tournant : lorsque sa cible, avant d'être achevé, lui montre le contenu de la dite mallette. Au lieu d'être remplie  de documents nucléaire, elle semble contenir quelque chose le concernant, et ceci un coup monté.

L'introduction du personnage est rapide et ultra complète. En quatre pages, même si on ne connait pas Deathstroke, on sait parfaitement de quoi il en retourne. La narration du fascicule est assez bien menée, et assez surprenante, mais malheureusement Kyle Higgins en fait trop : alors qu'il pourrait laisser des blancs, les dessins de Joe Bennett suffisant sur certaines cases, il rajoute ce petit script en trop. Mais on lui pardonne pour un moment jouissif : après nous avoir saoulé pendant une bonne moitié du single avec des teenagers stéréotypés mais clairement assumé, il libère la rage de Deathstroke. Net, précis, sans bavure.

 

Ce Deathstroke #1 pas spécialement attendu est une excellente surprise. Il délivre une introduction parfaite pour le personnage de Slade Wilson, que l'on soit connaisseur ou non. Il bénéficie d'un redesign moins violent que Harley Quinn ou Midnighter, dans un esprit un peu 90's, qui est en plus loin d'être moche. A t'il les épaules pour avoir sa propre série dans les New 52 ? Pour le moment, oui.

Apteis
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