Avant d’arriver sur nos écrans fin avril, le chef-d’oeuvre de Neil Gaiman se voit adapter en bande-dessinée, par l’auteur lui-même et P. Craig Russell. L’occasion de se replonger dans les péripéties d’Ombre et des multiples dieux qui l’entourent, avant d’en découvrir l’interprétation de Bryan Fuller et son équipe.
La relève de DC Comics se joue en grande partie dans les
histoires de Peter Tomasi et des
enfants des plus grands héros de la Terre. Embarqués dans une folle aventure, Superboy et Robin se frottent à Lex
Luthor, mais aussi et surtout à Kid
Amazo.
Rien ne va plus pour l’équilibre de l’univers alors que Jason Aaron envoie les asgardiens en guerre contre les Shi’ars . Pourquoi, et comment tout se terminera, cela reste à voir, mais on ne boude pas notre plaisir devant une saga épique et magnifiquement mise en image par le toujours très bon Russell Dauterman.
Tous les numéros de Kill or be killed redéfinissent l’univers de notre anti-héros, et de notre côté on découvre toujours plus le talent du duo Brubaker / Phillips, qui nous livre ici l’une de ses plus grandes œuvres. On en redemande.
Alors que la continuité de leur relation est chaotique depuis les New 52, Green Arrow et Arsenal se retrouvent dans ce numéro, au grand dam du dernier, pour defendre une réserve amérindienne contre Queen Industries, prise des mains d’Oliver Queen.
Bienvenue à la sortie trimestrielle de Head Lopper, la série d’Andrew MacLean qui lorgne fortement du côté de Mike Mignola et débute cette semaine son nouvel arc qui embarque Norgal et la tête d’Agatha, prêts à en découdre face à de nouveaux ennemis.
Que fait le meilleur pilote de la galaxie lorsqu’il est privé de vaisseau ? Il fuit ses assaillants, au côté de deux des plus célèbres droïdes de l’univers Star Wars, BB-8 et C-3PO. On lui souhaite bonne chance.
Alors que Riverdale fait son petit bonhomme de chemin sur la CW,Mark Waid continue son reboot de l’univers d’Archie Comics lancé il y a un peu moins de deux ans. Et on y retrouve des similitudes avec la série TV en venant explorer la famille Blossom, qui a récemment rejoint la ville d’accueil de Veronica et ses amis.
Si le numéro zéro ne nous avait pas convaincu, Batwoman a depuis longtemps gagné le droit qu’on lui donne sa chance dans ses nouvelles séries, d’autant que Steve Epting assure la partie graphique, et les couvertures. On espère cependant que Marguerite Bennett ne se prendra pas les pieds dans le tapis de clichés et de redites que nous suggérait le numéro d’introduction. Bon courage.
Nouveau départ pour Vampirella, projetée dans une autre époque après un sommeil d’un millénaire. Nouvelle époque, nouveaux mœurs, et en toute logique, un nouveau costume pour l’héroïne qui se cherche surtout un nouveau souffle sous l’égide de Paul Cornell.
Au début des années 90, James Robinson prenait la tête d’un Elseworld de DC Comics dans lequel les héros du Golden Age se retrouvaient confrontés à l’époque du McCarthisme et de ses dérives. L’occasion de se plonger dans une sombre période des USA, vues du point de vue des défenseurs originaux de la Terre DC Comics.
En 2006, l’une des plus grandes séries de l’histoire de Vertigo lançait un spin-off d’une cinquantaine de numéros, consacrés au turbulent mais mythique Jack of Fables. Ce premier hardcover recueille les 16 premiers numéros de la série qui voient Jack partir pour Las Vegas et rencontrer de turbulents ex-confères.